Mère

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Était-il chaud, doux, emplie d’odeurs de gâteaux à la fleur d’oranger, de crème anti-âge ou de parfum suave et fleuri, de sucre, d’huile d’olive ou bien poivré, salé peut-être, mélange d’ail et d’oignons fries, de repas exotiques et de fumées ? Sans doute était-il tout cela à la fois et plus encore ? Ce dont je me souviens, c’est que le baiser de la mère était donné pour rien, pour tout, à tout moment du jour ou de la nuit, pour un oui, pour un non, pour un rien.

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